dimanche, 10 décembre 2006
Mon Beau Sapin, Roi des Forêts.....
Tout comme Watta , je vous montre mon Arbre de Noël, simplement je suis déçue car je le trouve plus beau au naturel qu'en photo
C'est un vrai sapin normand qui ne perd pas ses épines, ça c'est plutôt cool!
Le petit truc en plus cette année
les sucres d'orge ( faux bien sûr sinon avec mes monstres , ça ne ferait
pas long feu!!!)
sans oublier ma boule de Noël confectionnée par
moi-même lors de mon stage de formation
en décembre 2004
14:12 Publié dans Ma Vie | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : VIVE LA VIE, Noël
Commentaires
même sujet et même constat ici, la photo restitue mal la beauté du sapin décoré !
je vois que toi aussi tu affectionnes le bleu... ;-)
Écrit par : luna pat | dimanche, 10 décembre 2006
et voilà !!! toi aussi , ton appareil ne voit la même chose que ton oeil ....ça me soulage !!!
super Anne en bleue !!
Écrit par : debla | lundi, 11 décembre 2006
pas mal ton sapin, moi j'ai toujours un spain en plastique, ceux de maintenant, ne sentent plus comme les sapins d'antan, et puis cces arbres qu'on maltraite ça me fait de la peine alors je me trimballe encore ce sapin de pastoque
Écrit par : yoyostereo | lundi, 11 décembre 2006
La Normandie, l'autre pays du sapin ! mdr !
Moi aussi j'en ai fait un , un vrai, ça faisait bien 10 ans que j'utilisais mon démontable en plastique
Le vrai, il pique, la vache ! pas l'habitude !
Écrit par : maazz | mardi, 12 décembre 2006
Certes aucun rapport avec votre note, mais bon...
C’est l’histoire de 11 marins-pompiers à Marseille, et de Stéphanie, une gamine de 15 ans par eux violée et prostituée qui s’est suicidée.
Deux autres mineures ont été également participantes.
Le jugement d’aujourd’hui les a tous relaxés, sauf un condamné à 3 ans.
http://enterrementdelalune.free.fr/
Aller lire cette ignominie, et dire un mot pour la mère et le jeune frère ?
PS : La mère de la victime “principale” (dixit les journaux), avait déjà subi un homme, le mari ... :
Ces mains sont sur moi, telles des pieuvres hideuses et carnassières. Elles m’attrapent les cheveux et les tire en arrière. Mes yeux se ferment et je ressens la douleur de la gifle avant même que celle-ci ne m’atteigne. Ma joue prend feu, mon œil se durcit et la décharge que je reçois dans la tête m’assourdit un moment. Le bourdonnement ne s’arrêtera plus tant qu’il continuera à frapper. Je l’entends crier au-dessus de moi et sa bouche vomit les insultes sur mon corps et me recouvre comme le tas de fumier au milieu d’un champ. Mais c’est lui qui sent mauvais, il est mauvais. Il me fait mal et je ne peux rien faire pour l’en empêcher. Lorsque ses poings touchent mon ventre, mes seins, mes bras, je me plie en deux pour me protéger. Mon dos sera la dernière carapace qui me protègera de ses coups. Alors, lorsqu’il me sent trop hors d’atteinte, il accroche mes vêtements et me secoue dans tous les sens, comme un drap qu’il faut déplier. Pour ne pas lui livrer le peu de moi qu’il n’a pas encore touché, je me redresse et m’agrippe aux murs, aux portes, aux chaises, là où mes mains, aveugles, peuvent trouver appui. Mes yeux restent fermés pour ne pas voir, ma bouche se tait pour ne pas réveiller les enfants, mes oreilles mutilent ses paroles pour qu’elles n’empoisonnent pas ma pensée. Je ne dois pas me noyer, être engloutie dans sa haine et sa folie. Je tombe encore une fois, je me redresse et tombe encore, il me suit dans toute la maison, me frappe avec tout ce qui se trouve à portée de ses mains, il hurle, vocifère. Sa voix c’est le diable qui me pourchasse et m’anéantie, ses muscles sont ses armes qui me mutilent et me tuent lentement. Il m’acculera dans un coin du salon à coups de pieds. Je serai piétinée, lacérée, griffée, arrachée de ma chair et de ma dignité, je ne serai qu’une proie prise au piège et soumise à sa colère. Mes mains seront épuisées et tremblantes, mes yeux exorbités, mes jambes traumatisées, mon cœur brisé, mon âme souillée et abandonnée, et ma peine immense. Lorsque tout cela se termine sur le coup le plus brutal et en fait celui où il croit m’avoir fait vraiment mal, je m’aperçois que je ne souffre plus. Mon corps est tellement brûlant, mon cerveau en ébullition, que la douleur n’existe pas, du moins physiquement. Ce qui fait mal, c’est de se voir ainsi, recroquevillée dans un coin du salon, les vêtements en lambeaux, la maison sans dessus dessous, le goût du sang dans la bouche. Je suis essoufflée, vidée, sans force parce que j’ai subi la bête. La douleur vient plus tard, le soir ou le lendemain, lorsque les bleus et les contusions apparaissent, que le traumatisme crânien vous tourne la tête mais que vous ne pouvez pas aller à l’hôpital, que le moindre mouvement vous tire une douleur dans les articulations parce qu’il vous a secouée comme une marionnette. Et lorsque les semaines passent et que la douleur des coups disparaît, il vous en reste une autre à guérir, celle qui dure le plus longtemps et dont le combat est bien plus difficile que celui livré face à la bête … c’est de redevenir quelqu’un parce que vous n’êtes plus rien, même pas un animal parce que même ça, il vous l’a pris et l’a brisé.
Écrit par : richard | mardi, 12 décembre 2006
Euh... pas facile d'écrire après ça...
Je voulais juste dire, Anne, que tout est mieux, au naturel ;-)
Belles décorations.
Écrit par : Naturel | mercredi, 13 décembre 2006
Joli sapin, je suis jalouse !! le mien, il est tout petit et en plastique :-((
bisous Anne
Écrit par : Féline | mercredi, 13 décembre 2006
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